• Il s'en va, il s'étend, il s'etteint, il est mort quand il est né. La folie le possède de temps en temps, momentanément il laisse le monstre s'emparé de lui, petit à petit, jusqu'à ce qu'il trans-pire son monstre de souffrance, il le montre.

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  • Persistance du questionnement,

    Innactivité qui fait tourner en rond,

    Spirale vers le nombril, par peur de découvrir sa face caché.

    Autant rester aveugle plutôt que de comprendre l'inconnue,

    Immobilité tout à fait statique de peur de faire bouger quelque chose

    Et par là de le casser et faire tout tomber...


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  • Le décor des corps qui s’accorde à créer une danse. Transe de l’harmonie, musique électrique, éclectique rythme sur lequel on tremble. L’encre coule pour s’ancrer dans une réalité incertaine.

     

    La ponctuation du regard.

     

    Passer son œil sur une image, le poser sur les choses qui défilent devant nos yeux. Tout en sachant que les couleurs se forment dans le cerveau et les formes se construisent dans l’espace visuels.

    Comprenez-vous ce que je veux vous faire voir ?

    Le processus de la vision à se poser des questions pareils remet tout en cause, le monde de l’image imaginaire qu’on nous fait voir et même l’art… Puisque nos yeux sont les lentilles mécaniques qui nous décryptent l’image avant qu’elle n’arrive dans notre cervelle. Serait-ce alors absurde ? Non… le visible révèle le sensible. Nos yeux sont une déchirure de notre chair, de notre être qui s’ouvre sur la chair d’autrui et ainsi de suite, nos yeux sont des spirales infernales. Toile de fond permanente qui met en abyme

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  • Elle se réveille, il est 11h27, normal. Il faut dire qu’elle est étudiante, pas encore 21 ans et qu’on se la coule douce, parce qu’à la fac le rythme est pas franchement épuisant. Bref, elle ouvre ses yeux et tourne sa tête pour apercevoir le bonhomme, posé à coté d’elle, les yeux encore clos. Une main va pour caresser son visage, une main frêle, jeune, aux ongles un peu abimé par le stress, une main qui se dépose doucement sur sa joue puis qui remonte vers ses sourcils si bien dessinés et elle le retrace avec son doigt.

     

    Il ouvre ses yeux, il pose son œil droit dans son œil gauche à elle, vision croisée des yeux qui dépassent de l’oreiller. Douceur matinale encore un peu embuée par le réveil et les rêves qui s’évanouissent tranquillement dans les cerveaux. Drôle de sensation indéfinissable, à cause de ces sentiments pas encore tout à fait bien définis. Car il y a ce fil un peu mystérieux entre eux deux mais elle a peur. Elle ne connait pas ce que c’est d’aimer simplement, sans attendre, sans se poser de question. En fait elle ne s’aime pas et elle envisage à peine l’idée que ce garçon puisse avoir un minimum de sentiments pour elle. Il est alors bien compliqué de s’y faire, mais ces moments, comme le réveil, lui fait clairement comprendre que même si sa tête est remplie par 36000 questions il y a bel et bien un lien qui les nouent maintenant et qu’il est inscrit dans leur cœur à eux deux peu importe la manière dont ça finira…


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