Après une brillante carrière de tennis man, Chris Wilton incarné par Jonathan Rhyse – Meyers devient jeune professeur de tennis dans une grande école élitiste en Angleterre. Grâce à ce nouveau job il se lie d'amitié avec un de ses élèves, Tom. A partir de ca tout va très vite pour se jeune homme avide d'ascension social. C'est ainsi qu'il fait la connaissance de sa future femme Chloé qui n'est ni plus ni moins que la sœur de Tom. Lors d'un déjeuner de famille à la campagne, Chris rencontre pour la première fois la fiancée de Tom. Chris succombe immédiatement au charme de Nola. Comme il était convenu, Chris épouse Chloé et obtient par la même occasion un poste digne de son nouveau rang social. Il n'en va pas de même pour Tom et Nola puisqu'ils se séparent peu de temps après le mariage de Chris et de Chloé.

Nola disparaît de la scène pour laisser place à l'ascension sociale de Chris. Quelque temps plus tard, l'heureux couple retrouve Nola par hasard dans une galerie d'art en plein Londres. Chris insiste pour obtenir de Nola son numéro de téléphone sans que sa femme soit au courant. De la renaît une liaison passionnée.

Tandis que Chloé cherche par tous les moyens à avoir un enfant. Chris met enceinte Nola sans le vouloir. Celle – ci insiste afin que leur liaison soit dévoilée au grand jour alors que Chris tient absolument à garder cette place privilégiée au sein de cette bonne famille. Dépassé par les événements, Chris ne sait plus comment faire pour taire cet adultère. Une nuit, alors qu'il a du mal à dormir il lui vient une idée. Celle de tuer sa maîtresse afin de ne plus courir de risques.

C'est ainsi qu'il élabore  le plan de masquer son meurtre en assassinant la voisine de Nola pour que l'on prenne ces meurtres pour un cambriolage qui aurait mal tourné. Par chance les inspecteurs qui s'occuperont de l'enquête privilègeront une autre piste.

Pour son dernier film W. Allen se penche plus particulièrement sur l'adultère et s'interroge d'avantage encore sur la place qu'occupent la chance et le hasard dans une existence. C'est donc grâce à ce film qu'il illustre cet étrange phénomène qui fait qu'une vie peut d'un moment à l'autre basculer.

Gabriel

    History of a violence, histoire d'une violence, violence d'une vie, violence de l'image. Ce film ne joue pas avec des pincettes. Âmes sensibles s'abstenir! Film interdit au moins de 12 ans (j'aurais sans doute mis plus). Il s'agit ici de violence pure et réaliste, et ce n'est pas à 12 ans que l'on peut faire la part des choses!
    Malgrès cette violence sans détours qui a fait tourner la tête de plus d'une personne dans la salle, ce film est loin d'être un ammat de violence gratuite comme on peut habituellement voir au cinéma! Cette violence laisse perplexe et fait réfléchir. C'est l'une des raisons qui me fait dire que la limite d'age était insufisante.
Si je devais donner un mot pour défibnir ce film, je dirai sans hésiter " surpris ". Bien évidement je pourrai utiliser des mots comme sanglant, cruel ou même violent, qui correspondent à la nature du film, mais il se trouve ke l'impression qu'il me restait à mon retour à la lumière des lampadaires était la surprise! Tout d'abord je ne savai pas ce qui m'attendai derière la porte, je n'avai rien lut au sujet de ce film, et je peu vous dire que la surprise fut de taille, le décors est planté des la première scène! Un conseil, c'est pas le genre de film à aller voir avec sa copine, car niveau romantisme, j'ai déja vu mieu!
    Deuxième surprise, le déroulement du film! En effet, l'action est bien mennée. Il est assez dur de prevoir ce qu'il va se passer, ce qu'on doit attendre du film. Ce n'est qu'à la fin qu'on compren le sens de l'histoire.
    Troisième surprise, l'absence de suspens et de délicatesse dans l'action! Si quelqu'un doit mourir, il mourra, pas de deuxième chance, on est pas là pour faire du détail!

    Verdict du film, malgrès tout ce que j'ai pu entendre a son sujet, j'ai été agréablement surpris par ce film, et je le conseilerai fortement, mais pas a n'importe qui, car comme je le disait au début "âmes sensibles s'abstenir!" et esprit fermés egalement, car ce film est particulier et réservé à un nombre restreint de personnes!


Brice G.

Rendez vous avait été pris lors du précédent cours de Nuit Secrète.
Bien qu'une personne ait décommandé pour raisons personnelles, je retrouvais l'autre amie sur le lieu de rendez vous. De là, nous nous dirigions en direction du cinéma UGC Bercy pour aller voir "Match Point", le film de
Woody Allen. Une fois sur place, nous avions pris rendez vous avec le
"Big menu" pop corn, boisson de la plus grande taille; car quand on peut,
autant bien faire les choses. En effet, que serait une journée cinéma réussie sans pop corn et boisson ?
Une fois installés, nous avions de suite commencé notre menu en nous
demandant si nous allions finir... Mais maintenant, silence le film commence...
Donc rendez vous d'ici 2h04...
Ca y est le film est fini. Mon premier sentiment est l'étonnement car n'étant
pas un fan des films de Woody Allen, je dois avouer que j'y suis allé à reculons.
Même si nous avons dû nous absenter alternativement, pendant le film,
pour cause d'envie pressante dû à la taille de la boisson; j'ai été agréablement surpris. En effet j'ai bien aimé le film que ce soit dans le scénario, la façon dont cela a été tourné et pour la musique. Seul bémol que je pourrais faire dans l'histoire du film, une fin un peu trop abrégée à mon goût, j'aurai préféré une fin un peu plus construite.
Pour ma voisine, je sais qu'elle aurait préféré une fin plus joyeuse mais dans
ce cas, fallait pas aller voir un film tragique. Après le film, elle avait déjà prévu autre chose. C'est une chose que les filles AAAdooorent et dont les hommes se contentent.
Vous avez trouvé ???
Eh oui, la réponse était bien de "faire les magasins". Il faisait jour, nous sommes entrés dans le magasin. Elle cherchait des affaires mais ne trouva pas ce qu'elle voulait. Nous sommes sortis, et là, la nuit était tombée sur "Bercy Village".
Cela ne nous empêcha pas de nous poser sur un banc afin de parler et
de rigoler.
Voilà, il était déjà 18h30, c'est ici que notre journée cinéma prenait fin.
Nous avons donc pris le métro, fait quelques minutes de chemin ensemble
et l'heure de la séparation était arrivée, mais rendez vous à la prochaine sortie...

                                                                                            Igor M.

Des freres Dardenne


Le film debute par le trajet en scooter de ce petit bout dans les bras de sa maman. Ils arrivent devant une porte, elle ne s'ouvre pas. Sa mere cherche son pere, mais il ne doit pas encore s'en rendre compte. Elle finit par le trouver dans un cabanon au bord de l'autauroute, elle sort de la maternite. Depart dans la vie pas tres delicat pour ce nouveau-ne.
On remarque des le debut que Bruno (le papa) n'a que peu d'interet pour le petit. Il n'est pas aller les voir a la maternite, il a loue leur chambre pendant qu'elle y sejourne et jette un coup d'oeil a son enfant que losque Sonia le lui met sous le nez. Les moments de complicite entre ces deux tetes blondes ou ils se chamaillent, se bagarent, se cherchent et se courrent après, font ressortir tous les cotes enfantins qu'ils ont encore a l'interieur d'eux. Ils vivent des aides sociales et des petites magouilles de Bruno faites de traficotages en tous genres. Au moment ou Sonia propose a Bruno de se promener avec le petit, il va le vendre.
L'incomprehension est grande a ce moment pour le spectateur. Comment peut-on abandonner son enfant pour une liasse de billets.
D'ailleurs, la premiere fois ou Bruno prend son enfant dans ses bras, c'est pour le deposer, dans cette piece vide. Puis, il le laisse derriere lui. S'en suit des embrouilles pour recuperer l'enfant, et rembourser ses dettes, jusqu'au moment ou il finit en prison. Il se rend a la police dans des conditions particulieres, en se mettant face a ses responsabilites dans une combine avec un mome.
La scene finale fait ressentir qu'il a grandit et qu'il a compris ce qu'il a fait. Bruno et Sonia se retrouvent au parloir et ils eclatent en sanglot silencieusement.


En fait, le titre du film designe non pas le bebe, mais Bruno. Les freres Dardenne choisissent de s'immicer dans sa vie entre le moment ou Jimmy, le petit, sort de la maternite et le moment ou, avec Sonia, ils pleurent en prison. On comprend alors que s'il en est arriver a vendre son enfant c'est parce qu'il etait lui meme un gosse. Dans toute son innocence et son inconscience. D'ou ces longs plans ou il se trimbale avec le landeau vide avec la camera qui est comme scotche a son epaule. Un enfant qui se retrouve parent ne peut pas faire face a ses responsabilites.
L'approche et la comprehension de ce personage se fait patiemment, sans un regard moralisateur sur ce qui est montre. Il y a juste le cheminement de ce petit homme raconte au travers de la naissance de son enfant. Images banales ou intimes qui raconte de maniere simple une histoire forte.

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A history of violence

Lentement la poignée tourne sur elle même, c'est l'heure du souper. Après une attente flirtant avec l'éternité la porte s'ouvre enfin.

Pas un bruit.

L'atmosphère étouffante qui habite cette petite salle à manger donne à l'homme l' impression d'avoir effectué une plongée dans les profondeurs abyssales de l'océan. Il étouffe.

Un coup d'oeil, sa femme et ses deux enfants sont assis à table.

Immobile Il fixe le plancher.

Les yeux de tous les autres membres de sa famille sont collés aux assiettes à moitié vides.

Tous, sauf celui de sa petite fille.

Après avoir lancé des regards interrogateurs qui n'obtinrent aucune once de réponse, en se levant de table, elle brise le silence.

A pas feutrés elle se dirige vers un placard, en sort une assiette qu'elle assortie de la fourchette et du couteau tiré d'un tiroirs.

Sans avoir levé la tête, elle repart en direction de la table et sur le quatrième coté laissé vacant elle pose les couverts.

Elle se rassoit alors à sa place, jette un regard à son père puis rebaisse ses yeux.

Le coeur serré l'homme se dirige alors vers la place soigneusement préparé.

Elle ne comprend pas encore c'est pour ca...

Quand elle saura, encore un membre de la famille le reniera.

Et la vie qu'il avait tant cherché s'évanouira aussi vite qu'elle était apparu.

Un homme mourra et un autre ressurgira d'une ombre qui avait pourtant de juré de ne pas revenir, une ombre issu d'un souvenir qui ne pourra jamais s'effacer.

Et alors que lui apparaît l'aveuglante vérité qui fait naître quelques larmes salées, alors qu'il n'y admet qu'il n'y a aucune rédemption à son passé de violence, il s'assoit et ferme les yeux.

Luc Muratori