• Fiction

     

        IL est 21h32, je fini de ranger mes affaires et je quitte la routine du travail pour les petits plaisirs de la nuit, ce petit monde parallèle fuyant le soleil ! Je crois que ma journée ne passe que dans le but d'arriver à ce moment.
    On parle toujours de la beauté de l'aube, des premiers rayons de soleil ou du chant des oiseaux, toute la renaissance du monde. Mais la nuit est loin d'en être la mort, au contraire. Toute la vie est bel et bien active dans la pénombre des nuits !
        Il est 21h44 et la porte du bureau se referme derrière moi. Me voici libre, prêt a me réveiller ! Je lève la tête pour admirer le ciel clair parsemé d'étoiles troublées par les ondes lumineuses des réverbères. Je sens un petit courant d'air tourner autour de moi, passant par les recoins de mon corps. J'inspire une grande bouffée, m'imprégnant de l'instant, et entame ma progression vers la bouche de Métro.
        Il est maintenant 22h03, mon train arrive dans deux minutes ! Que va-t-il bien pouvoir se passer ce soir ? Chaque soir je me pose la même question. Il faut dire qu'on en voit des belles dans le Métro !
    Nous ne sommes pas nombreux sur le quai aujourd'hui. A vrai dire, on est rarement nombreux à prendre le Métro à cette station ! Je regarde à l'autre bout du quai,
    une vielle dame nourrit les rats du Métro en disséminant des miettes le long du quai. - Je comprends maintenant pourquoi ils sont si gros dans le coin ! - Intrigué par cette femme, je décide de traverser le quai en sa direction afin de m'approcher de l'action, lorsque mon train arriva dans un crissement de freins. J'interrompis alors ma traversée pour en entreprendre une autre. Sans quitter la vielle dame des yeux, interrogé par ce qu'elle allait faire, je monte dans le wagon. C'est alors que, au moment où l'alerte retentit, elle monte dans la trame de Métro et questionne toutes les personnes : « Bonjour, je m'appelle Charlene. Tu peux m'aider s'il te plait ?
    Face à elle, trois vieux monsieurs habillés bizarrement de draps rouge et jaune [à petits poids] et à la coupe de cheveux fort dévêtue ! Les trois hommes la regardèrent munis d'un sourire amical !

    Le premier, d'une voix rugueuse, dit :
    « Longue est l'attente du jugement dernier ! ».

    Le second, d'une voix résonnante, dit : « Lente est la recherche de l'heure passée ! »

    Quand au troisième, d'une voix douce et calme, dit : « Belle est la quête de l'être aimé ! »

    La vielle femme, apparemment satisfaite de ces réponses, continua sa traversée s'approchant de moi. Arrivée à mon niveau, elle réitéra sa question. Encore subjugué par les réponses des trois ancêtres, et n'ayant pas tout compris, je voulais répondre de la même façon, me prenant un court instant pour un petit être poilu au teint vert pâle, et sortis très fièrement, le sourire aux lèvres, « Lente est la quête du poux ! »
    La vielle femme se mit à pleurer, me disant que ça lui rappelait une vielle connaissance qu'elle avait hébergée. Gêné par sa réaction, j'étais soulagé de voir ma station arriver.
        Perturbé par cette vielle dame, mon ventre me fit comprendre qu'une petite collation me ferait passer toutes ces histoires.
    Sortant du Métro, mes yeux se posèrent sur une affiche publicitaire pour Mc Donald's où l'on pouvait voir Jean-Claude Van Dame, une glace à la main, disant :
    « Le Sunday se languit de sont supplément caramel ! ».
    Qu'ont-ils tous avec leurs phrases compliquées ? Moi qui étais motivé pour aller voir mon ami aux grands pieds, ce petit belge fut l'inhibiteur ! De plus, l'heure tardive me rappela qu'
    à minuit, le Mc Donald's est remplis des personnes laissées sur la bande d'arrêt d'urgence de la société. Je décide alors de longer la deux voies pour regagner mon chez-moi et tenter de réfléchir au sens des réponses des vieillards.
        Il est 23h32, je suis enfin dans mon lit. Cette soirée, que j'attendais avec impatience, se termine déjà, et ce n'est pas plus mal, car jamais j'aurai imaginé qu'elle se passe ainsi ! J'ai mal au crâne et ne veut qu'une chose, oublier tout ça et arrêter de réfléchir.
        Il est 23h17, et après 17h17 de veille,
    le réveil s'endort dans un long sommeil !

    Brice G.

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  • Ca y est, c'est l'heure,  je vais prendre le métro, enfiler mes écouteurs et aller faire dodo. Direction les places assises du fond, c'est plus tranquille quand il y a du monde et surtout, on peu poser son coude et laisser le son du baladeur couvrir les bruits sourd du wagon qui se bonde. Mes yeux se ferment,  j'oublie tout,  je ne pense à rien, penser c'est mal. Le métro ça ne fait pas rêver, alors je n'y rêve pas, j'y dort d'un sommeil léger en attendant d'être chez moi. En sortant du métro une vieille dame nourrissait les rats du métro en disséminant des miettes de pain le long du quai. Intrigué car l'entendant avoir une vrai conversation avec ces animaux j'allai la voir. La vielle dame qui comme toute les vieilles dames savait parler aux animaux me dit-elle, hier, rencontra trois rats coréen qui moururent peu de temps après et c'était de quoi elle discutait avec ceux ci. Je lui demanda alors si elle acceptait de me raconter ce qui c'était passé.  Elle avait l'intention de leur offrir un cadeau de bienvenue et venait s'informer des goûts des trois rongeurs. Après que les rats eurent passés commande, elle monta dans la trame de métro et questionna toutes les personnes : Bonjour je m'appelle Charlene, tu peux m'aider s'il te plaît.  Et oui le cadeau en question nécessitait de l'argent pour son acquisition et la vielle dame dont vous venez de savoir le prénom était SDF et ne croulait donc pas vraiment sous des montagnes d'argent. A la fin de la soirée, Charlene avait réussi a récolter trois fois un euro soixante dix et pu aller acheter leur présents aux trois réfugiés.  A minuit, le Mac Do est rempli des êtres laissées sur la bande d'arrêt d'urgence de la société et ces personnes ne sont pas du genre à tenter de demander plus que ce que l'on sert au client classique de peur de risquer de ne pas pouvoir payer un supplément. Et c'est ainsi que Charlène se dit lorsqu'elle vit arriver sur le comptoir le premier des trois desserts glacés : Le sunday se languit de son sunday caramel.  Et oui le Mac Do est présent partout dans le monde et même un rat coréen sait reconnaître le talent du clown américain pour ces petites glaces dit-elle. La vielle dame retourna donc voir les trois rats avec son présent et en retour chacun lui donna une petite phrase de son cru. Le premier dit Lente est la recherche de l'heure passée ce qui laissa songeuse Charlene  qui se demandait ce que ça lui apportait tandis que le rat en son fort intérieur se demandait aussi la même chose. Le second dit belle est la quête de l'être destiné et fut rappelé à l'ordre par le premier qui lui rétorqua qu'il s'était trompé de papier et dit à la place Belle est la quête des sunday que tu nous as apporté pendant que le second boudait car c'était lui qui voulait dire la phrase. Enfin le troisième dit plus très longue est l'attente du jugement dernier ce qui allait dans peu de temps se confirmer. Le lendemain elle appris l'affreuse nouvelle les trois rats trop rempli c'était fait renverser par un métro et les leur vente en éclatant fit gicler du sunday dans les yeux du conducteur du métro qui au même moment avait ouvert la fenêtre de sa cabine et avait sorti la tête. Ce qui a eu pour conséquence de lui faire faire un brusque mouvement de recul qui l'assommat et le laissa évanoui appuyant sur la manette contrôlant l'accélération du métro. Je lui dit que cette histoire était pas très plausible car je n'avais aucunement entendu parler d'accident de métro dernièrement. Elle dit que personne en la croyais jamais, elle se mis la main dans ces cheveux blanc, les trifouilla un moment, la retira puis dit: Mon poux aurait put vous confirmer ce qui c'était passé mais il est parti. Je pris congé de la vielle dame et je rentra chez moi. Dans ma chambre mon réveil venait de s'endormir dans un long sommeil et je décidais de faire pareil. Au milieu de la nuit j'entendis un voix murmurer près de mon oreille: « lente est la quête du poux »

     

    Luc


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  • Je suis Fred, et je suis un jeune poux. Je sait ça choque toujours un peu quand je dit ça mais attendez d'entendre l'histoire qui m'est arrivé par une étrange journée de février. Une vieille dame nourrissait les rats du métro en disséminant des miettes de pain le long du quai.  Et moi j'avais élu domicile sur sa tête. Je vois et j'entendais tout ce qui passais de la haut, mais ne vous inquiétez pas je restais humble.  Je déteste ces poux qui prennent la grosse tête, squattent un PDG d'entreprise et l'influence en lui soufflant  des idées à l'oreille pendant qu'il dort. Mais bon on l'a tous fait au moins une fois. J'était donc sur un des nombreux cheveux blancs de cette vielle dame  et je la trouvais fort symphatique toujours à essayer d'améliorer le petit monde dans lequel elle vivait. Et figurez vous que dans son petit monde ba il venait d'avoir eu du changement. Dans l'impressionnante faune qui peuple le métro, nan je n'essaye pas de vous faire peur, venais d'arriver trois rats coréens. Ces réfugiés politiques avait en peu de temps acquis le statut de sages de la ligne 13. Ma vielle dame qui comme toute les vieilles dames savait parler aux animaux eu un jour une conversation avec eux. Elle avait l'intention de leur offrir un cadeau de bienvenue et venait s'informer des goûts des trois rongeurs. Après que les rats eurent passés commande, elle monta dans la trame de métro et questionna toutes les personnes : Bonjour je m'appelle Charlene, tu peux m'aider s'il te plaît.  Et oui le cadeau en question nécessitait de l'argent pour son acquisition et mon locataire, dont vous venez de savoir le prénom était SDF et ne croulait donc pas vraiment sous des montagnes d'argent. A la fin de la soirée, Charlene avait réussi a récolter trois fois un euro soixante dix et, pu aller acheter leur présents aux trois réfugiés.  A minuit, le Mac Do est rempli des êtres laissées sur la bande d'arrêt d'urgence de la société et ces personnes ne sont pas du genre à tenter de demander plus que ce que l'on sert au client classique, de peur de risquer de ne pas pouvoir payer un supplément. Et c'est ainsi que Charlène se dit ,lorsqu'elle vit arriver sur le comptoir le premier des trois desserts glacés : Le sunday se languit de son sunday caramel.  Et oui le Mac Do est présent partout dans le monde et même un rat coréen sait reconnaître le talent du clown américain pour ces petites glaces. Ma vielle dame retourna donc voir les trois sages avec son présent et en retour chacun lui donna une petite phrase de son cru. Le premier dit:" Lente est la recherche de l'heure passée" ce qui laissa songeuse Charlene  qui se demandait ce que ça lui apportait, tandis que le rat, en son fort intérieur, se demandait aussi la même chose. Le second dit: " Belle est la quête de l'être destiné" et fut rappelé à l'ordre par le premier qui lui rétorqua qu'il s'était trompé de papier et, dit à la place: "Belle est la quête des sunday que tu nous as apportés" pendant que le second boudait car c'était lui qui voulait dire la phrase. Enfin le troisième dit: "Plus très longue est l'attente du jugement dernier" ce qui allait dans peu de temps se confirmer. Lorsque la vielle dame s'en alla, j'allai voir seul les trois rats qui se reposait après avoir ingéré, chacun, un sunday caramel entier.  L'un d'entre eux dormais appuyé sur un gros réveil et un autre me fit un chut de la main en disant :"le réveil dort dans un long sommeil". Je lui dis que ça devait être dur pour eux de  devoir sans arrêt parler comme ça et il me répondit: " oui peut être mais lente est la quête du poux". On rigola bien et je me retira. Le lendemain j'appris l'affreuse nouvelle les trois rats trop rempli c'était fait renverser par un métro et les leur vente en éclatant fit gicler du sunday dans les yeux du conducteur du métro qui au même moment avait ouvert la fenêtre de sa cabine et avait sorti la tête. Ce qui a eu pour conséquence de lui faire faire un brusque mouvement de recul qui l'assommat et le laissa évanoui appuyant sur la manette contrôlant l'accélération du métro. Je me suis dit alors j'étais content d'être un jeune poux et donc de en pas pouvoir manger de sunday caramel.

     

    Luc


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  • Ca y est, c'est l'heure,  je vais prendre le métro, enfiler mes écouteurs et aller faire dodo. Direction les places assises du fond, c'est plus tranquille quand il y a du monde et surtout, on peu poser son coude et laisser le son du baladeur couvrir les bruits sourd du wagon qui se bonde. Mes yeux se ferment,  j'oublie tout,  je ne pense à rien, penser c'est mal. Le métro ça ne fait pas rêver, alors je n'y rêve pas, j'y dort d'un sommeil léger en attendant d'être chez moi. Enfin sortie de l"avant dernière station de la ligne 13, mes pieds tapotent la chaussée qui défile, lentement. Et ayant à peine retrouver mes esprit qu'un  son strident vient blesser mes tympans engourdi. Le CD étant terminé rien n'aurait du plus oppresser mes oreilles, si ce n'est l'objet faisant maintenant concurrence avec nos oreillers pour avoir la meilleur place auprès de nos chères petites tête : le portable. Apres que l'idée d'éteindre cet artefact démoniaque jetant une malédiction sur tout les piétons qui somnolent gentiment en rentrant chez eux, ce soit en aller, je répondis. Nourriture, amis, faim, vient, Mac do. En effet le mac do ça peut être bien quand on a faim. Mais ce en quoi je croie avec bien plus de conviction c'est que si Dieu n'avait pas ordonné lors de la création du monde, juste après que les clowns devrait faire peur, et juste avant que les frites devaient être salées, que le sunday caramel du mac do soit aussi bon, ba j'y mettrai beaucoup moins souvent les pieds. Quoi que au Quick ça peut être sympa quand tu as la chance de tomber dans un endroit ou il donne de la glace aromatisé à la vanille parce que la vanille rajoute un plus incroyable au caramel. Mais question sunday il faut oublier la chaîne de fast food de notre cher militaire barbu et moustachu plus connu sous le nom de colonel KFC. En effet en plus d'avoir le point le plus négatif du quick, à savoir le caramel en sachet mais nous y reviendront, le deuxième élément de base de ce dessert glacé, à savoir la glace, n'est chez le King For Chiken, ni meilleure, ni moins bonne, que chez un autre, ce qui ne fera bien évidemment pas  pencher la balance en sa faveur. On en arrive maintenant au problème du sachet. Quick et KFC fournisse quand vous vous attendez à un nappage caramel, une sorte de petit étui en plastique,  de  largeur d'une moitié d'emballage de préservatif de forme carré et, de longueur a peu près équivalente à celle d'un batonnnet d'esquimau vanille de marque picard surgelé. Cet emballage de plastique ,qui oubli bien évidemment d'avoir une ouverture qui aurait de facile autre chose que le nom, contient un caramel avec un goût prononcé de sirop d'érable et de lait (ce qui n'est pas forcément désagréable) mais surtout un caramel froid qui vient de faire un trajet avec ces centaines de confrères de plusieurs semaine qui n'aurait rien à envier au parcourt des plus courageux oiseaux migrateurs. Tandis que chez notre pote Ronald, un bienveillant vendeur va vous servir un caramel chaud et onctueux qui,en plus d'être délicieux, vient tout juste d'être fondu de son petit bloc. De plus ce vendeur pourra vous servir généreusement si tenté que vous glissé le mot beaucoup dans une phrase contenant le mot caramel et le mot magique sil vous plaît; comme quoi nos mères ne nous avait pas menti. On remarquera l'importance d'avoir un serveur bienveillant pour éviter les quinze centime d'euro apparu d'on ne sait ou lors du douloureux moment de la lecture du ticket de caisse. Et puis je suis rentré chez moi et je me suis remis à dormir.

     

    Luc


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  • Je me trouve dans ce petit train qui parcourt le sous-sol parisien et qui se nomme métro. Métro, métro, mais trop de métro. Sa lumière jaunâtre, ses fauteuils vieillots, son biiiip interminable, son odeur et ses couleurs d'un autre temps. Mais surtout, tous ces visages qui figurent. Spectacle de la vie humaine. Trafic incessant d'âmes, méli-mélo des personnes qui entrent et sortent, se croisent du regard. J'ai le temps d'examiner tout ces visages –puisque je descends d'ici 11 stations, plus la force de lire, et par là, de me retrancher de toute vie extérieur-. Donc, arrivée gare St Lazare, extraction en masse des personnes, et voila que chacun poursuit son chemin. Une gare, point de transit. Rencontre éphémère avec des visages que l'on ne reconnaitra plus.

             Pour ma part, je poursuis ma trajectoire de retour : ligne 14. Moderne et rapide comme dans les histoires de science-fiction. J'arrive sur le quai, une vieille dame nourrit les rats du métro en disséminant des miettes de pain le long du quai. Elle dépose des petits tas consciencieusement au bord des rigoles. Elle monte dans la trame et questionne tout les passagers un à un:  « bonjour, jm'appelle Charlène, tu peux m'aider s'il te plait ? » avec une voix d'enfant. Que peut-il bien se passer dans sa tête ? Et dans la mienne ? Longue est l'attente du jugement dernier ou lente est la quête du pou.

             Etrange trajet aujourd'hui, je suis bien soulagée d'arriver dans mon petit hall d'immeuble et d'attendre mon tout petit ascenseur ; je dis bien petit car il est aussi grand qu'un cercueil dressé à la verticale. Une fois dedans, il m'arrive, quand je suis un peu fatiguée comme aujourd'hui, d'être dans un film où les portes vont s'ouvrir sur un banc blanc de nuages. Mais, non non, ce n'est que fabulation passagère, les portes s'ouvrent devant le n°6, signe que je suis bien à mon étage. Maintenant, il s'agit de trouver mes clefs qui font une petite balade dans mon sac, entre vieux mouchoirs, livres, stylos, portable, etc...

             Ouverture de porte, odeur de soupe que mes narines imbibent et reconnaissent tout de suite. J'apprécie -très simplement mais particulièrement - quand je rentre de mes cours et que la faim se fait ressentir, qu'un bon ptit repas soit prêt... Voilà une des joies de la colocation. Ce soir honneur à la Belgique, dont Lionel est originaire, il nous fait découvrir une recette de sa mère, le gratin de pâtes aux choux servie avec une soupe confectionnée par Raphaëlle. Repas fameux suivi de débat sur la politique et autre, je me rend bien compte par là que je ne connais qu'une partie infime d'un grand gros savoir.

             Il y a eu des soirs plus tristes, d'autres plus drôles, d'autres plus simples ou plus télé... Ce soir c'était questionnement, remise en cause, comprendre la marche du monde et le refaire. Enfin bon, c'est tout de même une chose sympathique que de vivre avec des personnes que l'on apprend à connaitre. On découvre alors des individus avec un regard nouveau, il faut apprendre à partager, échanger, apprendre à apprendre.

              Aprés toutes ces discussions tergiversées une envie de sunday nous prend, et nous eveille l'estomac car tout le monde sait que le sunday se languit de son supplément caramel. Prise d'ascenseur, rue traversée et débarquement au McDo. Le constat est qu'à minuit, il est rempli des êtres laissés sur la bande d'arrêt d'urgence de la société. Pas fière, d'avoir mis nos pieds dans ce lieu aprés tout ce qui s'est dit, mais bon se laisse avoir par l'envie du sunday!

               A la fin de ce genre de soirée, je perds l'envie de dormir, car je ne veux pas que ce qui vient de s'allumer en moi ne s'éteigne avec mes rêves et mes peurs. Car certains pensent que le réveil s'endort dans un long sommeil.

    mathilde



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