J'ai peut être façonné un monde

Mais je n'effacerait rien plus que la traces de vos actes...

 

Vous vous sentirez sûrement un peu mieux après notre union froide ou brûlante,

Mais vos tourment ne cesseront de vous ronger.

Clément je vous soulagerai mais ne vous guérirais pas

 

Je suis humble,

Et continue depuis toujours de me sacrifiez pour vous,

De prendre sur moi ce que vous ne voulez plus,

Ce que vous reniez.

 

J'accepte cette part de vous mais,

Lorsque vous franchissez le pas de ma demeure,

Soyez respectueux.

Car alors je suis partout,

et en tant que maître des lieux,

J'ai sur vous le pouvoir de vie et de mort,

Et je crains que la compréhension de mes sentences ne vous soit pas accordé.

 

C'est d'ailleurs peut être pour ça que vous arpentez mon royaume moins qu'autrefois,

Et que certains ose même piller et saccager nombres de mes demeures

 

Mais vous savez on me prie encore en masse dans certains pays du monde

Peut être avez vous oubliez qu'il y en a qui implore encore et toujours ma présence,

Et que j'ai accepté d'être en chacun d'entre vous,

même ceux qui ne me prient pas.

 

J'ai eu oui dire que votre comportement a mon égard ce serait détériorés au fils du temps,

Parce que paradoxalement j'aurai été trop présent à vos cotés.

Je changerai donc de méthode.

Non je ne disparaîtrai pas ,

Pas encore,

Mais par contre,

Je me refuserai à vous,

En commençant par ces unions froide ou brûlante que certains se réserve jalousement.

 

On se servira donc encore de moi pendant quelques temps,

Et après on emploiera mon nom pour escuser des actes impardonnables.

 

Je ne sait pas ou mon comportement me mènera,

Mais après tout,

Malgré que des anciennes légendes de contrées oubliées me nomme ainsi,

Je ne suis pas un dieu,

Alors peu importe.

 

Personne n'osera faire un procès d'intention à l'eau.

 

 

 

 

 

Luc Muratori

 <o:p />

COMMENTAIRE SUR LE TEXTE 
« Divagations nocturnes », écrit par Brice

 <o:p />

(Ce n'est pas
vraiment u commentaire, mais un texte qui est venu dans ma tête en lissant le
texte de Brice)<o:p />

 <o:p />

 <o:p />

C'est  curieux comme il y a des sentiments
universels ; comme les odeurs et la musique peuvent nous emmener  des souvenirs aussi intenses  qu'on croit revivre pendant un instant un
passage de notre vie ;comme la lecture des certains mots dans le moment le
plus approprié met en ébullition la mémoire et décale le passé, même si elles
parlent d'une expérience et d'une sort d'amour différente. <o:p />

 <o:p />

J'aime bien me
rappeler de tout ce qu'on a fait ensembles, de tout ce qu'il m'a appris, de son
honnêteté, son bon humeur et bonhomie. Mais parfois je voudrais tout oublier,
jamais me rappeler parce que le seul fait de savoir qu'on ne pourra plus
parler, que je ne pourrai plus l'embraser quand j'arrive chez moi et lui
raconter comment le jour s'est passé, ni écouter ses blagues, ni recevoir ses
sincères caresses, qu'il ne sera plus présent dans les moments les plus
importants de ma vie me fait autant de mal que je ne peux pas le supporter. Je
me sens tout à fait impotente, incapable de sortir de cette situation qui me
recueille et ne me libère pas ; parce qu'il n'y a pas et il n'y aura jamais
une solution. <o:p />

 <o:p />

Il a laissé un
trou derrière lui, dedans nous. C'est trou qui se crée dans le profond  quand une personne aimée pars, ce
« trou infini » que je ne pourrai jamais remplir. C'est comme un trou
noir dans le galaxies, inexploré et incompréhensible, avec un mystère qui fait
peur  mais qui nous attire
inexorablement, parce que vraiment on ne veut pas oublier. C'est un trou vide
mais inondé. C'est mon passé me tout à fait mon présent ; et le passé à
elle et tout à fait son présent .Une permanente contradiction.<o:p />

 <o:p />

Et maintenant que
je suis grandie, je m'aperçois de la réalité qui m'entoure, et je me rends de
plus en plus compte qu'il était 
exceptionnel et qu'il le fut vraiment bien.<o:p />

 <o:p />

Pourtant la nuit
est la meilleure alliée des souvenirs tristes et mélancoliques . Quand elle
arrive, ils m'inondent. Quand la nuit arrive je pense a lui, je pense à elle,
mon visage se transforme  et les larmes
se glissent doucement  le long de mes
joues. Mais je sais qu'il n'aimerait 
pas ma tristesse, alors je me souviens des bon moments, j'essaie de
sortir un sourire et penser que, finalement, j'ai eu de la chance de l'avoir
eu  avec moi.<o:p />

 <o:p />

 <o:p />

 <o:p />

                                                                                                         
Carmen  López<o:p />

Elle, jeune inconnue. Moi, qui ne comprennai pas!

Son visage ne m'était pas familié, pourtant il est clair qu'elle me connaissait! Et ce qui est bizare, C que je semblai la connaitre!
Je la suivait a reculont, a travers un centre commercial! Cela faisait sans doute un moment qu'elle prennait un malin plaisir a passer des instant interminables dans ces boutiques toutes semblables! Je decidai alors de l'ignorer et de la laisser a ses activitées, allant m'assoir sur un banc au milieu de l'allée centrale!
Je la regarde de l'exterieur, je l'observe dans cette boutique! Puis d'un seul coup, elle me cherche du regard, se retourne et m'appercois, la fixant! Je suis géné et détourne le regard. Alors elle sort dde la boutique et s'approche de moi. S'assoie a mes coT et me prend dans ses bras! Je depose délicatement ma tête sur sa poitrine, glissant le long de son bras! Elle est douce et sa chaleur me fai frissonner! Mais je suis bien!
 C'est alors que je me reveille, ne distinguant plus le vrai du faut! Cette fille je ne la connait pas, son visage m'est inconnue, pourtant j'étais bien, et ca ne m'a pas géné! pourquoi ai-je faice reve? Qui est cette jeune inconnue? Toute ces questions resterons sans reponces! Je repren ma vie normal, j'irai retrouV ce soir les bras de ma copine! Pencées infidèles ou infidèle par la pensée? Tout ceci n'est qu'un rêve qui s'efface au cours du temps! Il est comme la vie,éphemère! Mais on profite de chaque instant!


Brice G.

Un jour tu est parti sans me dire au revoir
Ce jour s'est imprimmé au fond de ma mémoire
Pas un geste de la main, pas même un regard
Aujourd'hui t'es parti, et moi j'ère dans le noir

Tu voulais prendre la grande porte, c'est la grosse tête que t'a pris
Tu voulais vivre dans la gloire et elle t'a ôté la vie
Tu regardais pas en arrière ce coup ci t'aurais dû
Je regardais droit devant, aujourd'hui je ne peut plus

Pourquoi t'es parti si vite? Pourquoi t'es parti si tôt?
J'ai beau regarder ta fille, j'ose à peine lui dire ces mots
Lui dire combien je t'aimai, combien tu comptais pour moi
Lui dire combien tu l'aimais, que veulent dire ces mots sans toi

T'es parti sans un mots, un geste ou un sourire
Je n'étais pas préparé a te voir partir
On ne s'ai pas dit au revoir, Aurais-je pu dire adieu?
Sachant quel desespoir ce mot porte a mes yeux!

Comment te dire au revoir? Je ne saurai le dire
Tu sera dans mon coeur a tout jamais gravé
Un geste de la main, un mot et un sourire
Je les assembles tous et te laisse t'envoler!

Brice G.